• 1 juin 2022

Espace rime avec opportunité.

S’il s’agit d’un espace vaste, nous rêverons à ses possibilités ; s’il est limité par des frontières, nous nous adapterons à ses contraintes. L’important n’est pas l’espace en soi, mais ce que nous en ferons, quelle que soit sa forme—de l’environnement bâti à l’espace d’idées et de créativité, en passant par le lieu numérique d’innovation et de recherche.

La valeur d’un lieu peut être déterminée par la qualité de vie qu’il génère, peu importe où il se trouve. C’est pourquoi le design est si important : il peut servir de force motrice pour que les gens s’épanouissent dans de nouvelles réalités et continuent à se développer. Lorsque la conception repose sur la curiosité, l’imagination et la générosité de rendre le monde meilleur, l’espace peut devenir bien plus que ce qu’il était lorsque nous l’avons trouvé.

À travers le design, nous pouvons créer des espaces où il fait bon vivre, grandir et rêver.

C’est notre façon, à nous, de construire un monde meilleur.

C’est un état d’esprit

Un de nos principes est toujours resté le même : le désir d’évoluer.

Nous savons que pour être de véritables acteurs du changement, nous devons être ouverts à explorer l’espace au-delà de nos zones de confort. Nous devons nous exposer aux risques et aux défis afin d’apprendre, de dépasser nos propres limites et de créer des opportunités de croissance et de progrès.

Il ne s’agit pas d’atteindre la perfection, puisqu’être parfait signifie qu’il n’y a plus de travail à faire. Il s’agit plutôt de chercher à devenir meilleur. C’est en nous surpassant nous-mêmes, en apprenant toujours plus et en sortant de nos habitudes que nous pourrons créer une véritable valeur collective.

C’est notre façon de travailler

Notre approche transdisciplinaire nous permet de repousser les limites de notre pratique et d’aller toujours plus loin. C’est ce processus qui engendre l’espace foisonnant dont nous parlons : notre approche collaborative du travail d’équipe, où rien ni personne n’opère en silo ou en s’isolant des autres dans le processus de conception. Au contraire, il s’agit d’une conversation continue à laquelle tout le monde prend part afin de créer un environnement où les idées et les disciplines peuvent se nourrir les unes des autres.

Ce processus crée à son tour des lieux enrichissants pour les usagers : vous en trouverez la preuve dans des projets tels que la place des Montréalaises, où l’architecture de paysage, l’architecture et l’art s’unissent pour innover en matière d’inclusion et d’égalité dans nos villes. Ou encore même celui de l’Espace 67, où des concepteurs en architecture du paysage, des urbanistes et des architectes ont uni leurs efforts pour réunir des éléments autrefois distincts d’un site patrimonial d’une manière remarquablement interconnectée.

« Nous commençons toujours par l’idée, et c’est la raison pour laquelle ça fonctionne », explique Andrew King, associé principal et chef conception chez Lemay. « Nous avons mis en place des méthodologies pour travailler ensemble, où nous ne nous organisons pas par sujet ou par spécialisation. Nous cherchons à voir quelles sont les idées—l’idée derrière le bâtiment, le paysage, le rez-de-chaussée—et nous avons élaboré un processus pour qu’elles se réalisent. »

En travaillant ensemble, en utilisant les méthodes et les domaines d’expertise de chacun, nos équipes bénéficient d’un plus grand éventail de perspectives. C’est ainsi que nous grandissons.

C’est ce qui nous permet de rêver plus grand

Pour nous, l’idée de créer des espaces riches de sens équivaut à se donner la permission d’aller plus loin.

C’est une bannière sous laquelle nous nous rassemblons et que nous portons ensemble, signalant un moment dans le temps qui illustre non seulement le chemin parcouru, mais aussi celui qu’il nous reste à traverser. Rien qu’au cours de la dernière décennie, nous nous sommes concentrés de plus en plus sur le design et sur la nécessité de faire mieux en faisant des choses qui comptent.

Cela nous donne un but, dit Robert Fiorino, chef marketing chez Lemay, lorsque nous regardons notre développement au cours des 65 dernières années, ainsi que vers les 65 prochaines années à venir.

« À l’externe, nous créons l’espace pour grandir. Cela fait référence à ce que nous faisons : le changement et la nuance. Cela nous permet de saisir les nuances et les changements sociaux qui se produisent et de nous développer avec eux—changement climatique, pandémies, guerres, hausses et baisses de l’économie. Ce sont des catalyseurs de changement du point de vue du design.

 « À l’interne, nous nous donnons l’espace pour grandir ; nous nous donnons la permission de grandir avec la marque. Que vous soyez un architecte stagiaire ou un directeur principal, vous pouvez vous reconnaître dans le raffinement de la marque, adopter nos principes et les amenez là où vous voulez qu’ils aillent. »

L’espace de vie, l’espace de possibilités, représente une dichotomie contenant à la fois une ouverture au changement et nos idéaux et principes qui sont coulés dans le béton. C’est un équilibre entre le voyage qui nous attend et les changements que nous avons vécus ensemble.

Le concept d’espace de vie se déploie autant dans ce que nous avons accompli que dans ce que nous prévoyons faire dans le futur.

 

Ce concept n’est qu’un aspect de notre nouvelle image de marque et de l’initiative de célébrer les esprits créatifs qui font rayonner notre équipe.